Culotte menstruelle THINX : j'ai testé pour vous !

Grâce à un groupe facebookien, j'ai découvert les culottes de règles THINX

Ma curiosité attisée, j'ai eu envie de tester et vous en parler. 


En résumé.

Depuis un peu plus de 1 an, je suis une fervente utilisatrice de cup le jour et serviettes hygiéniques la nuit.
Oui, le syndrome du choc toxique n'est pas empêché par la cup car dû au sang stagnant qui fait se développer les toxines. Le mieux est donc de porter la nuit de quoi absorber vos règles en externe.
Sauf qu'on le sait maintenant toutes, les serviettes hygiéniques de supermarché c'est comme les tampons : plein de produits cracra !

Qu'est-ce que c'est cette culotte THINX ? 

C'est une marque américaine, THINX,  qui a lancé ce concept et vends des culottes de règles ou culottes périodiques.
Il existe plusieurs modèles allant de la culotte simple au shorty en passant par le string. 3 coloris sont disponibles : noir, beige ou vert (je découvre le vert en écrivant cet article).
Les tailles vont de XXS à 3XL.
Niveau tarif, cela tourne autour de 30€, un peu cher mais pour une protection lavable et donc réutilisable un bon moment. 
Il n'est pas encore possible de les trouver en France mais on peut les commander facilement sur le site web THINX.

J'ai opté pour le modèle Hiphugger coloris noir passe-partout, idéal à mon sens pour la nuit. Comme je suis pile entre 2 tailles, j'ai penché pour celle du dessus pour être bien à l'aise. 

Et comment ça se passe ? 

La culotte ressemble à une culotte totalement classique sauf qu'elle possède une épaisseur particulière au niveau de l'entrejambe.
Épaisseur qui en passant se ressent beaucoup moins qu'une serviette hygiénique qui bouge, colle, bref... 

Comme un schéma vaut mieux que des mots : 


- Une couche anti-humidité, pour être "au sec".
- Une couche anti-microbienne.
- Une couche absorbante qui peut contenir autant qu’un tampon ou une serviette .
- Une couche anti-débordement pour être protéger au maximum des vilains débordements.

Niveau lavage, il suffit de la rincer à l'eau puis de la mettre à la machine à laver ou la laver à la main. 

On peut l'utiliser soit en complément d'une cup ou un tampon ou seule comme un sous-vêtement classique. 
Certains modèles ont une capacité d’absorption équivalentes à 2 tampons.

Cette culotte promettait de révolutionner mes nuits...

A cause ou grâce à mon SOPK, j'ai un tout petit flux qui dure 3 jours, la culotte THINX peut donc me servir jour et nuit.

Pour écrire cet article, je l'ai portée un cycle entier la nuit en la lavant chaque matin et un second cycle 24H en continu : crash test !

Pour la nuit :
-  dormir avec une simple culotte en ayant ses règles c'est un bonheur !
- Pas de fuites, pas de sensation d'humidité.

Je me suis réveillée le matin en ayant la sensation de ne jamais avoir passée une si bonne nuit en ayant mes règles. 

Pour la journée entière :
- ultra confiante, je l'ai mise le matin du pire jour du cycle comme un sous-vêtement classique. 
- Comme c'était un jeudi, j'ai même fait du sport avec !
Je n'ai pas eu peur comme une ado "que tout le monde voit que j'ai mes règles", pleine de confiance et j'ai eu raison.

Même constat le lendemain matin en allant prendre ma douche : pas de fuites, pas de sensation d'humidité, pas d'odeurs. 

Je suis conquise par ma culotte THINX et je crois que je ne pourrai plus me passer d'elle... 
Elle est vraiment top en utilisation seule pour les filles à petit flux ou bien le premier et dernier jour des règles.
Pour les filles qui ont des flux plus importants et la peur de la fuite, c'est une excellente alternative à protège slip ou une serviette cracra.

On n'a pas choisi d'être fille, d'avoir nos règles et par imprudence ou malchance on peut en mourir... Ouais, je suis tragédienne à mes heures perdues. 
Autant utiliser au maximum des protections périodiques safe !


Connaissez-vous les culottes menstruelles ? 

Seriez-vous prêtes à tester ?


Trouver sa place...

Poulpinou est un enfant soupçonné de dyspraxie et dysgraphie mais légères.
Je suis la maman d'un
enfant différent mais je ne me sens pas la maman d'un enfant différent.
Je ne suis pourtant pas la maman d'un
enfant comme les autres.


Et j'ai un mal fou à trouver ma place dans tout cela...

 

Dans ma tête rien n'est clair... 
Je ne me sens pas à ma place avec les parents d'enfants en plus grosses difficultés que Poulpinou...
Je ne me sens pas à ma place avec les parents d'enfants sans difficultés... 

On nous a proposé de rejoindre l'association dyspraxiques mais fantastiques, je n'y suis pas encore prête.
Cela nous ferait sûrement du bien d'échanger avec des personnes qui vivent notre quotidien, mais notre quotidien me parait bien simple à coté de ce que vivent d'autres familles.

J'ai encaissé depuis bien longtemps déjà la différence de mon amour de fils, nous l'avons créé ainsi, il est né ainsi, il grandi ainsi et il vieillira ainsi.

Je vous en avais déjà parlé, nous ne faisons aucuns mystères sur ses soupçons de dyspraxies mais nous n'en avons pas fait quelques chose de grave.

C'est comme ça, juste comme ça !


Poulpinou est un enfant différent, avec un handicap invisible de base mais en plus dans notre cas léger donc encore plus invisible.

Et pourtant... 

 

On enchaîne les rendez-vous, les bilans depuis quasiment 3 ans : ORL, psychomot', orthoptiste, ophtalmo, neuropediatre, psychologue, ...
Papa chéri a la chance d'avoir un travail flexible et d'être à 80% et donc de pouvoir  se dégager du temps.
Sans ça, je n'imagine pas comment on ferait.

J'ai hâte d'être à fin juin, le second rendez-vous neuropédiatre après les derniers bilans, que l'on puisse mettre enfin un mot "Dyspraxie" sur tout cela ou juste que l'on sache que Poulpinou est "plus lent au démarrage" qu'un autre enfant.

Cela ne stoppera pas les rendez-vous, 
Cela ne stoppera pas ses difficultés en un coup de baguette magique.

Cela ne stoppera pas les remarques sur sa façon de manger, sa maladresse dingue, le fait qu'il n'arrive pas à fixer son regard, son hypersensibilité.

Si vous saviez comme j'ai envie de hurler quand j'entends des parents chercher des difficultés à leur enfant alors qu'il n'y en a pas !

Et comme j'ai envie de hurler encore plus fort quand j'entends des gens dire que les "dys" sont une question "de mode".

À contrario, je n'oserai jamais dire à un  parent avec un enfant plus lourdement touché que Poulpinou : "je sais ce que tu vis !".

Et bien entendu, je ne me plaindrais jamais ouvertement des troubles praxiques de Poulpinou.

Rien n'est simple mais rien n'est compliqué à la fois ! 


Je n'arrive pas à trouver ma place entre la maman d'un enfant différent et la maman d'un enfant lambda...

Peut être que tout changera quand nous saurons ou peut être pas... 
 

Le Croisic : Dépaysement et découverte

Quand tu vis à Nantes, tu peux facilement aller prendre un bol d’air marin revigorant.
C’est ce que j’ai eu la chance de faire en avril dernier en city trip le temps d’une journée au Croisic.

Le programme au top : visite de l'océarium du Croisic, resto sur le port, visite de la ville, visite d’un chalutier en compagnie d’un marin pêcheur et apéroooo !


Partie de Nantes avec pour chauffeur Pauline, merci encore miss, nous sommes arrivées à notre premier lieu à découvrir : l’océarium du Croisic.

Je l’avais déjà visité l’an passé avec les enfants et Papa Chéri mais pause blog oblige, je ne vous en avais pas parlé ici.

Cette fois, c’est en visite guidée avec Sébastien, soigneur à l'océarium, que j’ai pu le découvrir et cela change tout !

L'océarium a été créé 1992 et accueille plus de 4 000 spécimens dans ses 56 bassins et aquariums.

On peut y voir des poissons par des dizaines, des coquillages, des crustacés, des coraux, …

Mais aussi un tunnel avec des poissons au dessus de la tête, un énorme bassin avec des requins, des tortues et un autre avec des raies et certains jour de l'année une sirène !

Nous avons eu la chance d'assister au repas des manchots trop choux en extérieur.

Cet océarium est très bien mais ayant fait celui de Singapour, hyper bluffant, grandiose, qui en mets plein les yeux, tous les autres ne sont pas à son niveau.

Celui-ci vaut tout de même la visite, un océarium plaît toujours aux enfants et il mérite d'être visiter.

Pour l'avoir fait en poussette l'an passé avec Miss Chouquette, il est vraiment accessible  même en plein rush estival, nous avons pu tout voir sans soucis.

A la fin de la visite nous avons eu le droit à des petits cadeaux et nous enfin pû passer par la boutique Coralline histoire de garder des souvenirs de cette jolie journée.




 

Le midi, nous avons déjeuner au restaurant Ty Mad en plein cœur de la ville

Le Ty Mad est le restaurant du chef François THOREL, restaurant reconnu au guide Michelin et au Gault et Millau en 2017.

Waouh quelle claque gustative !

Des saveurs bien ajustées aussi bien pour les amuses-bouches, l’entrée, le plat et le dessert.

La découverte du jour fut la mertensia, cette feuille a qui un goût bluffant d’huitre.

Gros coup de cœur pour le croustillant de langoustines et son risotto crémeux à souhait.

Le menu enfants est à 12€ et ce n'est pas un steak frites comme on peut le voir dans d'autres restaurants : saumon fumé ou charcuterie, filet de poisson ou poulet avec écrasé de pommes de terres, glace ou crêpe.

Les prix sont assez abordables pour un restaurant de ce standing, je vous conseille ce lieu les yeux fermés. 



Pendant que les autres blogueuses ont pu visiter un chalutier en compagnie de son capitaine Thierry EVAIN, pour des raisons de non acrobates, avec ma copine à paillettes alias Bouille nous avons décidé d’aller visiter la ville.

Le Croisic est une charmante ville avec son cœur de village ancien, son port, ses petites boutiques et ses vieilles portes.

Nous sommes allés voir une expo photo dans une ancienne chapelle, la galerie Chapleau. 
Le photographe amateur Stéphane FOURRE était atteint d’une maladie génétique rare, sujet qui me touche bien entendu.
Il avait décidé de partir en reportage photo au Cap Vert, ce sont les photos de ce voyage que l’on peut voir ici.

Il malheureusement décédé avant de pouvoir voir cette expo, la maire du Croisic a voulu lui rendre hommage en le mettant en avant dans ce lieu particulier. 



Ensuite, nous sommes retournés sur le port voir les blogo copines faire leur descente acrobatique du bateau !
Pas de chute à la mer à déplorer…

Nous avons fini la journée les pieds dans le sable, sur la plage, au Mojito Bar.
Gros coup de cœur pour le mojito framboise et les accras tout chauds. 


Après cette fabuleuse journée, nous sommes rentrées à Nantes avec de l'air marin plein les poumons.

Merci merci encore à Loire Atlantique Developpement, l’office de tourisme du Croisic et Le collectif LBD44 pour cette super journée ! 

Vous connaissiez Le Croisic ?